"Les communes ayant des revenus liés au tourisme d’hiver « sont assurées de percevoir au minimum ce qu’elles percevaient en 2019 en taxes de séjour et taxes de remontées mécaniques », a expliqué M. Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics, précisant que les décrets de reconduction de cette disposition déjà prise en 2020 « sont en cours de signature » pour 2021.
Une casse sociale d’ampleur est redoutée parmi les travailleurs saisonniers, dont certains, non embauchés, ne bénéficient pas du chômage partiel."
Ils ont des raisons, sur l'illustration, d'être "remontées" ...
Une gestion de la crise sanitaire uniforme qui n'a pas tenu compte des spécificités des stations et des massifs.
Dans cet article intéressant, la particularité des stations-villages qui offrent un plus grand panel d'activités dans une logique "quatre saisons" n'est pas évoquée.
Par ailleurs, pour maintenir des stations "en état de marche" et assurer la sécurité des usagers, il serait nécessaire d'investir pour rénover les remontées mécaniques. Ceci induit des investissements lourds difficile à engager face aux incertitudes d'exploitation (changement climatique, pandémies, perte d'appétence pour le ski alpin, pouvoir d'achat ...).