"En randonnée au Rioumajou il y a trois jours, j’ai eu la chance d’observer d’assez près une petite harde, une chevrée d’isards.
A l’encontre d’idées reçues, s’agissant de reconnaître à distance, dans la nature, un mâle d’une femelle, « aucune caractéristique morphologique n’est suffisante en elle-même pour différencier les animaux vivants ».