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Vendredi 7 août, Bernard Escoula, maire de Cazaux Debat, a déposé plainte à la gendarmerie d’Arreau pour dégradation du patrimoine communal : la stèle qui rappelle les ouvriers indochinois morts de la grippe espagnole dans le Louron a été fissurée à deux endroits.
Des Vietnamiens dans les Pyrénées : rencontre avec Paul Bouygard à Vielle-Aure le 28 juillet
En 1918, un groupe de travailleurs coloniaux vietnamiens était envoyé au fond de la montagne pyrénéenne pour construire un ouvrage hydro-électrique. Il y découvrait un petit village des Pyrénées. Ce fut un choc pour les Pyrénéens, observés attentivement dans leurs faits et gestes par les nouveaux venus. A peine passé le temps de la découverte, la grippe frappait qui emportait 19 Vietnamiens en 15 jours. Les survivants repartirent vers d'autres aventures. Ils furent presque oubliés. Un siècle après, c'est dans un lieu profondément transformé par de nouveaux habitants qu'il fut décidé d'honorer la mémoire des Annamites, comme on avait coutume de les appeler. En 2013, une stèle fut édifiée à l'emplacement des tombes disparues. Ce livre est un récit. Il raconte comment la vie des habitants d'un village reculé dans sa montagne à l'aube du XXème siècle a croisé celle de travailleurs coloniaux vietnamiens, et dans quelles conditions a ressurgi la mémoire de la tragédie qui les frappa, cent ans après les faits. La postface, "les chimistes du diable" , relate les errements de l'industrie chimique lors des conflits du XXème siècle. Paul Bouygard, 54 ans, est cadre dans la fonction publique territoriale. Il vit dans les Pyrénées. En 2009, avec quelques amis et parents, il a créé une association qui a permis de redécouvrir notamment l'histoire des travailleurs coloniaux vietnamiens dans les Pyrénées. Il anime le blog http://www.amisdecazaux.fr/
Via Scoop.it Aure Louron
Conférence sur les Vietnamiens dans les Pyrénées à Loudenvielle le 29 octobre
En 1918, un groupe de travailleurs coloniaux vietnamiens était envoyé au fond de la montagne pyrénéenne pour construire un ouvrage hydro-électrique. Il y découvrait un petit village des Pyrénées. Ce fut un choc pour les Pyrénéens, observés attentivement dans leurs faits et gestes par les nouveaux venus. A peine passé le temps de la découverte, la grippe frappait qui emportait 19 Vietnamiens en 15 jours. Les survivants repartirent vers d'autres aventures. Ils furent presque oubliés. Ce livre est un récit. Il raconte comment la vie des habitants d'un village reculé dans sa montagne à l'aube du XXème siècle a croisé celle de travailleurs coloniaux vietnamiens, et dans quelles conditions a ressurgi la mémoire de la tragédie qui les frappa, cent ans après les faits.
Des Vietnamiens dans les Pyrénées : dédicace de Paul Bouyguard à Saint-Lary Soulan le 21 décembre
En 1918, un groupe de travailleurs coloniaux vietnamiens était envoyé au fond de la montagne pyrénéenne pour construire un ouvrage hydro-électrique. Il y découvrait un petit village des Pyrénées. Ce fut un choc pour les Pyrénéens, observés attentivement dans leurs faits et gestes par les nouveaux venus. A peine passé le temps de la découverte, la grippe frappait qui emportait 19 Vietnamiens en 15 jours. Les survivants repartirent vers d'autres aventures. Ils furent presque oubliés. Un siècle après, c'est dans un lieu profondément transformé par de nouveaux habitants qu'il fut décidé d'honorer la mémoire des Annamites, comme on avait coutume de les appeler. En 2013, une stèle fut édifiée à l'emplacement des tombes disparues. Ce livre est un récit. Il raconte comment la vie des habitants d'un village reculé dans sa montagne à l'aube du XXème siècle a croisé celle de travailleurs coloniaux vietnamiens, et dans quelles conditions a ressurgi la mémoire de la tragédie qui les frappa, cent ans après les faits. La postface, "les chimistes du diable" , relate les errements de l'industrie chimique lors des conflits du XXème siècle. Paul Bouygard, 54 ans, est cadre dans la fonction publique territoriale. Il vit dans les Pyrénées. En 2009, avec quelques amis et parents, il a créé une association qui a permis de redécouvrir notamment l'histoire des travailleurs coloniaux vietnamiens dans les Pyrénées. Il anime le blog http://www.amisdecazaux.fr/
"Paul Bouygard, président de l'association des Amis de Cazaux-Debat, est venu, samedi 13 octobre, à la Maison du patrimoine à Saint-Lary Soulan pour parler d'un sujet qui lui tient à cœur : celui des travailleurs annamites. Ces travailleurs coloniaux ont été accueillis pendant quelques mois à Cazaux-Fréchet, durant l'année 1918, pour construire une partie du canal permettant la production d'hydroélectricité."
Le samedi 22 septembre 2018, les tables explicatives ont été inaugurées à la stèle des travailleurs vietnamiens à Cazaux Debat, en présence notamment de Monsieur Bouygard Pierre, maire du village, Monsieur Carrère, Président de la Communauté de Communes, Madame Beyrié, vice-Présidente du Conseil Départemental et Monsieur Pelieu, Président du Conseil Départemental.
Samedi 21 juillet à 17h00, conférence à la stèle des annamites (au dessus du pré situé en face du pont de Cazaux, à La Prade). A l'entrée de la vallée du Louron, en face du pont de Cazaux Debat, une stèle commémore 19 Annamites enterrés là ou à Arreau. Leur histoire mérite d'être racontée. La conférence sera suivie à 18h 30 de l'assemblée générale de l'association des Amis de Cazaux.
Conférence à Ancizan le 1er avril "1918, 1940 : des vietnamiens dans les Pyrénées"
Le 2 avril 1918, une colonne de 140 travailleurs coloniaux indochinois a remonté la vallée du Louron depuis Arreau pour prendre ses quartiers en face du pont qui conduit au village de Cazaux –Debat. Ils venaient de la poudrerie de Toulouse, où 20 000 personnes fabriquaient des obus et des munitions pour les armées alliées. Quand, pourquoi et comment a-t-on fait venir ces hommes en France ? Qui travaillaient avec eux sur à Toulouse, sur les chantiers du Louron, de la vallée d’Aure et de Lannemezan ? Que s’est-il passé à Toulouse ? 19 d’entre eux ont laissé leur vie à Cazaux Debat et Arreau, victime de la grippe espagnole. Pourquoi ce drame a-t-il traversé le siècle ? Que sont devenus ces travailleurs coloniaux après l’armistice ? En 1940 et jusqu’à 1945, d’autre travailleurs coloniaux vietnamiens sont venus à Lannemezan puis de là dans la vallée d’Aure : quel fut leur destin dans la France de Pétain et celle de la libération ? Le samedi 1er avril à 16h30, au Centre culturel d'Ancizan Conférence proposée par Paul Bouygard - "Les amis de Cazaux" organisée dans le cadre de l'exposition « Les travailleurs indochinois en région toulousaine pendant les deux guerres mondiales (1914-18 / 1939-45) » visible au Centre culturel d'Ancizan du 14 mars au 18 avril. Plus d'infos au 05 62 40 75 20
Durant la Première Guerre Mondiale, des milliers d’indochinois ont travaillé à l’arsenal de Tarbes et à la Poudrerie de Toulouse. Cette dernière en envoya 140 sur les chantiers du Louron, dans les Hautes-Pyrénées, où la grippe espagnole en décima une vingtaine.
"Le samedi 23 juin 2013, a eu lieu l'inauguration de la stèle dédiée aux travailleurs viêtnamiens morts en août 1918 de la grippe à Cazaux Debat, alors qu'ils étaient venus construire le canal d'amenée d'eau qui va d'Avajan, en amont de Bordères - Louron, jusqu'à Arreau."
"L'association des amis de Cazaux - Debat conduit un projet afin de réaliser une stèle à la mémoire des 19 travailleurs vietnamiens morts en 1918 alors qu'ils construisaient le canal d'amenée d'eaux entre Avajan et Arreau."
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Des Vietnamiens dans les Pyrénées : rencontre avec Paul Bouygard à Vielle-Aure le 28 juillet
En 1918, un groupe de travailleurs coloniaux vietnamiens était envoyé au fond de la montagne pyrénéenne pour construire un ouvrage hydro-électrique. Il y découvrait un petit village des Pyrénées. Ce fut un choc pour les Pyrénéens, observés attentivement dans leurs faits et gestes par les nouveaux venus. A peine passé le temps de la découverte, la grippe frappait qui emportait 19 Vietnamiens en 15 jours. Les survivants repartirent vers d'autres aventures. Ils furent presque oubliés. Un siècle après, c'est dans un lieu profondément transformé par de nouveaux habitants qu'il fut décidé d'honorer la mémoire des Annamites, comme on avait coutume de les appeler. En 2013, une stèle fut édifiée à l'emplacement des tombes disparues. Ce livre est un récit. Il raconte comment la vie des habitants d'un village reculé dans sa montagne à l'aube du XXème siècle a croisé celle de travailleurs coloniaux vietnamiens, et dans quelles conditions a resurgi la mémoire de la tragédie qui les frappa, cent ans après les faits. La postface, "les chimistes du diable" , relate les errements de l'industrie chimique lors des conflits du XXème siècle. Mardi 28 juillet à 20h30 à la salle municipale au dessus de la halle de Vielle Aure. Paul Bouygard, 54 ans, est cadre dans la fonction publique territoriale. Il vit dans les Pyrénées. En 2009, avec quelques amis et parents, il a créé une association qui a permis de redécouvrir notamment l'histoire des travailleurs coloniaux vietnamiens dans les Pyrénées. Il anime le blog http://www.amisdecazaux.fr/
Via Scoop.it Aure Louron
C'était durant la Première Guerre mondiale. Le Vietnam était alors divisé, avec en particulier l'Annam et le Tonkin, sous protectorat français. Ces territoires ont fourni la main-d'œuvre pour les usines d'armement en métropole. Mais il fallait aussi amener l'électricité aux usines, en particulier sur Lannemezan. Et pour cela, construire le canal du Louron. D'où l'arrivée de ces travailleurs coloniaux dans nos montagnes.
Découvrez l'histoire des Vietnamiens dans les Pyrénées
En 1918, un groupe de travailleurs coloniaux vietnamiens était envoyé au fond de la montagne pyrénéenne pour construire un ouvrage hydro-électrique. Il y découvrait un petit village des Pyrénées. Ce fut un choc pour les Pyrénéens, observés attentivement dans leurs faits et gestes par les nouveaux venus. A peine passé le temps de la découverte, la grippe frappait qui emportait 19 Vietnamiens en 15 jours. Les survivants repartirent vers d'autres aventures. Ils furent presque oubliés. Un siècle après, c'est dans un lieu profondément transformé par de nouveaux habitants qu'il fut décidé d'honorer la mémoire des Annamites, comme on avait coutume de les appeler. En 2013, une stèle fut édifiée à l'emplacement des tombes disparues. Ce livre est un récit. Il raconte comment la vie des habitants d'un village reculé dans sa montagne à l'aube du XXème siècle a croisé celle de travailleurs coloniaux vietnamiens, et dans quelles conditions a ressurgi la mémoire de la tragédie qui les frappa, cent ans après les faits. La postface, "les chimistes du diable" , relate les errements de l'industrie chimique lors des conflits du XXème siècle. Paul Bouygard, 54 ans, est cadre dans la fonction publique territoriale. Il vit dans les Pyrénées. En 2009, avec quelques amis et parents, il a créé une association qui a permis de redécouvrir notamment l'histoire des travailleurs coloniaux vietnamiens dans les Pyrénées. Il anime le blog www. amisdecazaux. fr
http://www.amisdecazaux.fr/
Au retour de la séance de cinéma à l'Arixo où ils ont découvert le film :"Au revoir la-haut", les élèves se sont arrêtés à la stèle des Annamites de Cazaux-Débat.
Saint-Lary Soulan : conférence sur les travailleurs vietnamiens dans les Pyrénées à La Maison du Patrimoine le 13 octobre
Après le succès de la conférence de « José Cubéro », Samedi 13 octobre 2018 à 18h, dans le cadre des commémorations du centenaire de la Grande Guerre de 14/18 ; Paul Bouygard , président de l'association Les Amis de Cazaux-Debat nous propose une conférence sur le thème « Les annamites, ces travailleurs vietnamiens ».
Une libre participation sera demandée (argent versé pour l’association les amis de Cazaux-Debat).
Le site Internet de l'association
L' association des Amis de Cazaux, avec l'aide de nombreux partenaires, a fait réaliser 4 tables de lecture* afin d'expliquer aux visiteurs les raisons de la présence de la stèle à la mémoire des travailleurs coloniaux vietnamiens à Cazaux Debat. Celles-ci seront inaugurées le samedi 22 septembre à 11h. Pour ceux qui ne pourraient être présents à l'inauguration, voici les visuels des tables en question :
https://fr.slideshare.net/villette1/tables-en-memoire-des-annamites-en-vallee-du-louron * Les textes sont traduits en Occitan, en Anglais et en Vietnamien.
Dans le cadre de l'exposition "La Grande Guerre à la Une ! Les Hautes-Pyrénées de 1914 à 1918 dans la presse" réalisée du 13 mai au 10 décembre 2017, à l’abbaye de l’Escaladieu, conférence de Paul Bouygard (président de l’Association des amis de Cazaux-Debat) : "Face au manque de main d’œuvre, de nombreux sites industriels travaillant pour la défense nationale recourent aux travailleurs coloniaux. Ainsi, des Indochinois sont embauchés à l’Arsenal de Tarbes. Une partie de ces travailleurs employés dans le Sud-Ouest sont ensuite envoyés sur les chantiers hydroélectriques, en particulier en vallée d’Aure. C’est cette histoire trop souvent oubliée que Paul Bouygard que nous fera revivre…" A 18h à l'abbaye de l'Escaladieu
Exposition au Centre culturel d'Ancizan : les travailleurs indochinois en région toulousaine pendant les deux guerres mondiales (1914-18 / 1939-45)
Exposition conçue par Dzu Lê-Liêu, Liêm-Khê Luguern et Laure Teulières et visible du 14 mars au 18 avril au Centre culturel d'Ancizan. L’exposition rapproche de façon inédite l’expérience d’une migration coloniale durant les deux guerres mondiales. En 1915, puis en 1940, des dizaines de milliers d’Indochinois, des Vietnamiens surtout, ont été amenés en France. Les archives font revivre la dure condition des travailleurs, le dépaysement, l’exploitation, mais pour certains aussi l’occasion d’un itinéraire social atypique, de solidarités et de fréquentations nouvelles… L’iconographie fait redécouvrir ce pan d’histoire méconnue et les sites concernés en région. À travers les témoignages, et les transformations d’une génération à l’autre, c’est le point de vue de ces hommes qui s’exprime, ceux rentrés au pays comme ceux qui ont poursuivi leur vie en France. « Pour la construction du canal entre AVAJAN et ARREAU, un contingent de travailleurs annamites a été employé par le ministère de la guerre. Un cantonnement avait été installé à CAZAUX-DEBAT en face du pont sur la Neste, à côté du hameau de la Prade. Le responsable de ce cantonnement de 130 personnes en avril / mai 1918 et 149 en août, était monsieur François Balagué, chargé du contrôle à la poudrerie nationale de TOULOUSE » Source : Les amis de Cazaux Entrée libre du mardi au samedi, entre 15h et 18h. Renseignements au 05 62 40 75 20.
"Les Journées Européennes du Patrimoine ont été l'occasion de visiter par l'extérieur l'usine hydroélectrique de Bordères, à Arreau, puis de longer le canal d'amenée d'eau entre Arreau et Cazaux - Debat."
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S'il s'agit d'un acte de vandalisme, c'est effectivement intolérable.
La stèle avait été inaugurée en 2013