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Son nom savant est Thaumatopoea pityocampa, elle est facilement localisable sur les conifères par ses cocons blancs, qui ne sont pas de la décoration ! Cette invasive, désormais recensée dans les trois quarts de notre pays est dangereuse, par le poison de ses poils volatils. En cause, le réchauffement climatique et la diminution d’oiseaux, leur adaptation pourrait même modifier leur comportement, jusqu’ici limité à une procession annuelle.
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Personne n'a envie d'habiter dans un immeuble bruyant, près d'une autoroute ou d'un aéroport. C'est un peu la même chose pour les insectes et oiseaux pollinisateurs qui fuient les arbres longtemps exposés au bruit et qui semblent en conserver des séquelles même longtemps après le retour du silence. C'est le fruit d'une étude qui, pendant une quinzaine d'années, a observé une parcelle d'arbres soumise à une pollution sonore continue. Les auteurs notent à ces endroits un appauvrissement de la diversité de la végétation et une cascade d'effets écologiques durables, malgré la suppression du bruit.
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Les chercheurs d’INRAE ont initié en 2018 un projet de sciences participatives intitulé « Gardiens des chênes » impliquant des écoliers, collégiens et lycéens de différents pays européens pour étudier les mécanismes de résistance des chênes aux insectes herbivores, sous différents climats . Pendant deux ans, 82 enseignants et leurs élèves, et 30 scientifiques, appliquant le même protocole, ont mesuré les dégâts causés par les insectes herbivores sur les arbres, le long d'un gradient allant de l'Espagne à la Finlande, couvrant ainsi l’aire de répartition du chêne pédonculé dans 17 pays européens. Leurs premiers résultats sont publiés le 15 février 2021 dans la revue Global Ecology and Biogeography. Ils montrent que tous les insectes herbivores ne sont pas influencés de la même manière par le climat ou les défenses des arbres.
Les chercheurs INRAE en partenariat avec l’ONF viennent de publier un guide d’aide à la décision pour protéger forêts et arbres contre la processionnaire du chêne. Il est téléchargeable gratuitement, ou vous pouvez également en demander un exemplaire papier.
Via AgroParisTech Documentation Nancy
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(Inside Science) -- Plagues of forest-destroying insects seem to arrive on our shores almost as regularly as ocean waves. Their names -- hemlock woolly adelgid, emerald ash borer, Asian longhorned beetle, spotted lanternfly -- only hint at the damage they trigger. The dead trees they leave behind cost billions to remove and add more than 5 million metric tons of carbon annually to the atmosphere, an amount roughly equal to the annual output of 4.4 million cars.
Via Bernadette Cassel
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Véritable fléau pour les humains et les animaux, la prolifération de la chenille processionnaires du chêne impacte le travail des forestiers et fragilise les arbres.
De la larve du scolyte, en passant par son imago, jusqu'au rougissement des sapins pectinés, Michel Farny, technicien de l’ONF à l’unité territoriale Doller-Largue, témoigne de l'impact des attaques de la scolyte, un insecte ravageur sur la forêt de Sickert, dans la vallée de la Doller.
Via Hubert MESSMER
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Face au changement climatique, les arbres développent des stratégies pour adapter leurs systèmes de défense contre les insectes herbivores.
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Demise of the beetles, that need rotting wood to survive, could have devastating knock-on effect for other species, say scientists in a new report
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Au programme de cette revue de presse de juillet : des pommiers à l'ombre des arbres, des insectes et des vers de terre, du carbone, des dégâts d'ongulés, de l'art, des métaux lourds et des TCR ! A lire par exemple : Séquestration du carbone dans la biomasse et le sol des haies en zone climatique tempérée.
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L'idée est simple : placer de fausses chenilles en pâte à modeler dans des arbres et observer les traces laissées par leurs prédateurs. Ainsi, la plus ou moins grande présence d'empreintes de bec, de dents ou de mandibules sur les leurres donne une idée de l'activité des prédateurs des chenilles. Durant deux ans, 82 enseignants et leurs élèves dans différents pays européens ainsi que 30 scientifiques ont suivi un protocole dans le cadre du projet de recherche participatif.
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Avec le réchauffement climatique, on constate une augmentation généralisée des dégâts provoqués par les insectes ravageurs dans les forêts en Europe et dans le monde sous climat tempéré. Afin d’évaluer le rôle de la diversité des forêts dans leur résistance aux insectes ravageurs, des chercheurs d’INRAE et de la Mission Biologique de Galice (Espagne) ont mené une méta-analyse sur plus de 600 cas publiés entre 1966 et 2019, la plus complète à ce jour. Leurs résultats, publiés le 16 septembre dans Annual Review of Entomology, confirment que les forêts mélangées (composées de plusieurs espèces d’arbre) sont plus résistantes aux attaques de la majorité des insectes herbivores que les forêts pures (monocultures), avec une réduction des dégâts d’en moyenne 20%. Leur synthèse ouvre de nouvelles pistes de recherche en gestion forestière pour prévenir les attaques de ces ravageurs.
"Une équipe de chercheurs du Sino-French joint laboratory for invasive forest pests in Eurasia (INRAE - université de Pékin pour la forêt) a comparé, dans une étude récente, les propagations d'insectes invasifs associés à des plantes ligneuses (peuplements forestiers, plantes ornementales, arbres fruitiers, arbustes), en Europe et en Chine."
Via AgroParisTech Documentation Nancy
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Les insectes coléoptères, riches de 2 663 espèces attachées à 74 familles en France, et qui dominent le cortège saproxylique avec les champignons, constituent ainsi un groupe indicateur fréquemment utilisé dans le monde forestier. Le suivi de cette riche biodiversité représente toutefois un véritable défi. En effet, trente ans après la prescription du Conseil de l’Europe, qui encourageait les gouvernements européens à utiliser prioritairement les organismes saproxyliques pour évaluer l’état de conservation des forêts, peu d’outils sont disponibles pour assurer cette mission. MNHN, 4 juillet 2019
Via Bernadette Cassel
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Une vaste étude américaine montre que la menace des insectes et pathogènes invasifs dans les forêts diminue dès lors que plus de 35 essences différentes y poussent.
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The decline in biodiversity and the associated loss of plant species are greatly affecting ecosystems. Thus far, this has been shown by studies in the so-called grasslands, i.e. in areas that are not covered by buildings or are dominated by woody vegetation. A team of biologists from the University of Freiburg has now been able to show that the loss of tree species in forests destabilizes insect communities and their interactions with each other and with plants. Tree diversity in forests is therefore important for stabilizing the insects' food webs. They present their results in the current issue of the international journal Proceedings of the Royal Society B.
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La processionnaire du pin est le principal défoliateur des pins, voire d'autres résineux, en France. La plupart du temps limitées aux lisières de peuplements, ses attaques peuvent être plus importantes en peuplements ouverts ou sur pins isolés.
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