Ce 26 novembre, l'amphithéâtre de l'INSEEC proposait un mariage. Un mariage entre déontologie et transmédia sur l'autel de l'information journalistique.
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Quand l'information devient un jeu, quand la multiplicité des écrans permet de la mettre en scène, quand le story telling s'en mêle, sommes-nous informés, manipulés ou au spectacle? Dans le transmedia, la forme ne prend pas nécessairement le pas sur le fond... à condition que les pratiques déontologiques soient respectées . Seulement voilà, le transmedia demande des moyens que la presse, compte tenu de la crise qu'elle traverse, n'a pas. Reste le crowdfunding qui a le mérite d'introduire de la transparence dans le projet... et donc des garanties en ce qui concerne le respet de la déontologie. C'est le paradoxe de cette crise: libérer de plus en plus de journalistes des médias traditionnels (certains s'en passeraient) pour créer une forme de personal branding où le journaliste n'a plus de patron mais des patrons, à savoir les lecteurs et/ou spectateurs qui paient pour voir et suivent une enquête en direct.