Get Started for FREE
Sign up with Facebook Sign up with X
I don't have a Facebook or a X account
 Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scoop.it!
Si, en 1943, un expert en futur s'était aventuré à décrire ce que serait la presse en 2013, il y a fort à parier qu'il serait passé à côté de la PAO, des gratuits, d'Internet et de dizaines d 
No comment yet.
Sign up to comment
|
Scoop.it!
La presse écrite n’est pas aujourd’hui très différente de ce qu’elle était il y a 70 ans. Elle se porte même, d’une certaine façon beaucoup
Béatrice D.'s insight:
Dans 70 ans, pour Jacques Attali, "La presse sera entièrement numérique, avec traduction automatique dans la langue du lecteur... Chacun sera journaliste, dans un système global de PtoP. La rédaction d’une partie des articles sera automatisée. Le lecteur sera invité à pleinement rentrer dans les sujets, en ayant la possibilité de voir au travers des yeux du journaliste..." Conséquences, " le volet « couverture d’événements » s’amenuisera jusqu’à disparaître ; ne subsisteront que les fonctions de journaliste d’investigation (grands reporters, grandes enquêtes) et d’éditorialiste (expliquer, analyser, mettre en perspective), qui, de par leur nature moins descriptive, ne peuvent pas être automatisées. Ce qui donnera plus de valeur à l’hebdomadaire."
|
Le 27 mai, nous avons présenté dans ce topic le billet que Jacques Attali a écrit dans son blog de L'Express. Un billet écrit "pour informer éditeurs, journalistes et lecteurs du devenir de la presse, sans jamais employer le conditionnel, ce qui indique qu'il attend qu'on le prenne au sérieux", soulignait hier Bernard Petitjean, dans matin.fr. Une critique bien sentie qui complète utilement la réflexion sur l'exercice auquel s'est livré Attali.