Le journalisme est 'menacé de mort' dans les zones contrôlées par la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), active dans l'Est de la République démocratique du Congo, a estimé vendredi Reporters sans frontières (RSF).
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"Le paysage médiatique dans les territoires sous contrôle du M23 est marqué par les menaces, la censure, le contrôle des lignes éditoriales, la prise en otages de médias et parfois les enlèvements de journalistes", écrit dans un rapport RSF, qui a déjà interpellé la rébellion sur des accusations similaires dans le passé.
"Notre mouvement est dirigé par un ancien journaliste, porte-parole et attaché de presse (Bertrand Bisimwa). Je peux vous garantir que nous voulons des médias libres, nous voulons que ceux qui nous critiquent puissent s'exprimer", rétorque René Abandi, chargé des relations extérieures du M23, qui a démenti les accusations de RSF .