Beyrouth - Tués par des snipers, accusés d'espionnage, kidnappés par des hommes armés: face à la multiplication des risques en Syrie, de nombreux journalistes jugent aujourd'hui le conflit trop dangereux à couvrir.
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Selon RSF, au moins 25 professionnels étrangers et syriens et 70 citoyens-journalistes ont été tués depuis le début en mars 2011 d'une révolte devenue guerre civile. Et au moins 16 journalistes étrangers sont portés disparus.
Dans un communiqué, le Rory Peck Trust assure que "la situation des journalistes en Syrie est sans précédent et est en train de se dégrader".
"Il s'agit d'une situation inédite où aucune préparation n'est à même de réduire la possibilité de se faire enlever", ajoute le texte.
Les grands bénéficières du retrait des journalistes? C'est simple, "ceux qui violent les droits de l'Homme", comme le dit Chérif Mansour, du Committee to Protect Journalists (CPJ).