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C'est la thèse professée dans son édition d'aujourd'hui par The Economist. Est-elle pertinente ? Le célèbre magazine s'appuie sur le massacre à l'arme blanche du soldat Lee Rigby perpétré d 
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Le magazine américain The New Yorker a créé une "boîte" de réception virtuelle dédiée à collecter des informations sensibles considérées comme d'intérêt public.Lire la suite...
Béatrice D.'s insight:
Le magazine américain The New Yorker a créé une « boîte » de réception virtuelle dédiée à collecter des informations sensibles considérées comme d’intérêt public. Les Américains adeptes des rumeurs vont avoir une belle occasion de s'exprimer... et les journalistes pas mal de boulot pour démêler le vrai du faux. Alors, une bonne idée la boîte à "mails sensibles"?
A lire aussi sur le même sujet, cet article du Figaro:
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Béatrice D.'s insight:
Le Guardian vient lancer une plateforme qui permet aux lecteurs qui veulent être contributeurs de soumettre directement du contenu aux journalistes qui conviennent via leur smartphone.
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En partenariat avec Open society initative for West Africa (Osiwa), l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (Ipao) a procédé au lancement de son projet annuel « Médias sociaux et citoyenneté au Sénégal : partage d’expériences sur le journalisme citoyen » Via CDJM
Béatrice D.'s insight:
L'Institut Panos Afrique de l’Ouest (Ipao) recense les expériences sur le journalisme citoyen, journalisme citoyen pratiqué par des gens qui profitent des nouveaux médias pour avoir "une lecture décalée tout en informant l’opinion". Toutefois, Pauline Bend, directrice des programmes à l’Ipao, prévient: « Il y a du travail à faire quant à la crédibilisation des informations véhiculées, et aussi un encadrement de qualité pour éviter les dérapages ».
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Béatrice D.'s insight:
Miguel Tremblay livre une analyse critique de l'émission qui avait pour thème « Le journalisme emporté par les réseaux sociaux », le 19 mai sur Radio Canada. Il a raison sur un point: " les journalistes professionnels ne sont pas à l'abri des défauts du journalisme citoyen identifiés par M. Deglise", journaliste au Devoir, qui était l'invité de l'émission.
Pour vous faire votre propre opinion, écoutez le podcast de l'émission en cliquant sur le lien ci-dessous:
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The media industry may be hurting, but journalism -- and access to information -- is flourishing. Journalists may just have to work smarter, and network more, to keep up.
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Des apprentis détectives sur internet ont divulgué les photos et l'histoire d'un étudiant et l'ont présenté comme le suspect recherché par le FBI. Problème : ce n'était pas lui.
Béatrice D.'s insight:
L'émotion suscitée par les attendats de Boston a généré un emballement médiatique jamais vu avec, pour conséquence, la publication d'infos non vérifiées dans les médias traditionnels... parfois démenties sur les réseaux sociaux. Mais aussi des bugs sur ces mêmes réseaux sociaux comme sur Reddit par exemple, qui a fait de Sunil Tripathi, un étudiant indo-européen disparu le 16 mars, le suspect n°1 des attentats. En guise de "preuve", un morphing a même été créé. Cela dit, des apprentis détectives d'internet se sont aussi livrés au jeu des différences sur Twitter. Mais un jour, ce jeu public pourrait s'avérer dangereux... Quoi qu'il en soit, les événements ont montré que Sunil n'était pour rien dans cette affaire puisque les deux auteurs des attentats étaient deux frères Tchétchènes: un est décédé, l'autre, grièvement blessé, vient d'être arrêté.
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BOSTON - Après les explosions du marathon, les personnes cherchant à retrouver un être cher dans la panique des rues de Boston étaient nombreuses.
Béatrice D.'s insight:
Megan Johnson est devenue célèbre avec la photo d'un couple qui s'est retrouvé après les explosions, à Boston. Sa photo a été retweetée plus de 1.400 fois depuis son compte et vue près de 700.000 fois en 12 heures sur l'hébergeur d'images Imgur. Elle a aussi été reprise par les médias du monde entier. Les photoreporters savent depuis longtemps qu'ils ont de la concurrence dans le grand public. En voilà une nouvelle illustration. Et pendant ce temps, ce sont les patrons de presse qui se frottent les mains. Pourquoi payer des journalistes quand les documents arrivent tranquillement via les médias sociaux?
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7 000 heures de vidéos liées à l’actualité sont mises en ligne chaque jour sur YouTube par des citoyens présents sur un grand nombre d’événements. Ces vidéos apportent-elles du travail aux journalistes professionnels comme le croit The Economist? Ou leur en enlèvent-elles? Je partage le scepticisme de Christophe Lachnitt sur la première proposition.
Ci-dessous, le lien avec l'article de The Economist
http://www.economist.com/news/international/21578662-amateur-journalists-create-jobs-professional-ones-foreign-correspondents