Avec les mots de l'Info, France Info dresse un bilan de 2014 dans tous les domaines et appréhende 2015. Avec ses invités, Valérie Expert évoque les problèmes rencontrés par la presse écrite.
Scooped by Béatrice D. |
DEBAT AUDIO : PODCAST
> Céline Asselot : journaliste médias à France info.
> Jean-Marie Charon : sociologue, spécialiste des médias. Il est chargé d’une mission sur la transformation du paysage des médias par Fleur Pellerin.
> Johan Hufnagel : directeur délégué de Libération.
Pour JH, le bilan de son arrivée à Libé est "extrêment positif, avec une équipe "extrement resserrée, soudée, qui s'est bcp rajeunie". Il se dit très optimiste sur l'avenir de Libé papier.
JMC: On a une diffusion qui recule. EN PQN, on perd 4 à 5%. En vente au numéro, la baisse est plus importante. En PQR, il n'y a pas un titre qui maintient sa diffusion. Sur l'autre grand ressoudes, iles reculs sont encore plus importants: 6 à 8% par an. On est obligé d'aller chercher un public plus jeune. Au EU, on parle de -30% de journalistes aux EU > On va devoir travailler autrement à partir du support numérique. On est dans du multi support, avec formes éditoriales différentes et temporalité différente.
CA: Qu'est-ce qu'on fait avec le numérique? Comment on trouve de nouvelles ressources. Personnes a la formule magique, mais bcp herchent, innovent. C'est une période de créativité.
JH: Certains journaux ont abandonné le papier. Maintenir un journal de qualité, c'est extrêmement compliqué. Internet, c'est une révolution des usages. C'est une grande complexité de s'adapter aux usages de nos lecteurs.
JMC : Presse magazine a cru longtemps échapper au défi du numérique. Là, elle se rend compte qu'elle doit faire des choix radicaux. LA presse télé se rend compote que son avenir est sur des portails. On parle relation lecteurs, éditeurs, mais il y a aussi le système de distribution. Qu'est-ce qui va motiver les nouveaux lecteurs d'aller vers un point de vente.
JH: se dit frappé d'une vitalité qui va vers iles plus jeunes: So Foot, Snap magazine, utilisent beaucoup les réseaux sociaux avec une approche bi média.
JMC: journaux qui s'adresse à un public très éduqué va bien. Mais difficultés pour la presse populaire. Or, les sites de niche s'adressent souvent à un public assez éduqué.
Via Béatrice Drilles:
DEBAT AUDIO : PODCAST
> Céline Asselot : journaliste médias à France info.
> Jean-Marie Charon : sociologue, spécialiste des médias. Il est chargé d’une mission sur la transformation du paysage des médias par Fleur Pellerin.
> Johan Hufnagel : directeur délégué de Libération.
Pour JH, le bilan de son arrivée à Libé est "extrêment positif, avec une équipe "extrement resserrée, soudée, qui s'est bcp rajeunie". Il se dit très optimiste sur l'avenir de Libé papier.
JMC: On a une diffusion qui recule. en PQN, on perd 4 à 5%. En vente au numéro, la baisse est plus importante. En PQR, il n'y a pas un titre qui maintient sa diffusion. Sur l'autre grand ressoudes, iles reculs sont encore plus importants: 6 à 8% par an. On est obligé d'aller chercher un public plus jeune. Au EU, on parle de -30% de journalistes aux EU > On va devoir travailler autrement à partir du support numérique. On est dans du multi support, avec formes éditoriales différentes et temporalité différente.
CA: Qu'est-ce qu'on fait avec le numérique? Comment on trouve de nouvelles ressources. Personnes a la formule magique, mais bcp herchent, innovent. C'est une période de créativité.
JH: Certains journaux ont abandonné le papier. Maintenir un journal de qualité, c'est extrêmement compliqué. Internet, c'est une révolution des usages. C'est une grande complexité de s'adapter aux usages de nos lecteurs.
JMC : Presse magazine a cru longtemps échapper au défi du numérique. Là, elle se rend compte qu'elle doit faire des choix radicaux. LA presse télé se rend compote que son avenir est sur des portails. On parle relation lecteurs, éditeurs, mais il y a aussi le système de distribution. Qu'est-ce qui va motiver les nouveaux lecteurs d'aller vers un point de vente.
JH: se dit frappé d'une vitalité qui va vers iles plus jeunes: So Foot, Snap magazine, utilisent beaucoup les réseaux sociaux avec une approche bi média.
JMC: journaux qui s'adresse à un public très éduqué va bien. Mais difficultés pour la presse populaire. Or, les sites de niche s'adressent souvent à un public assez éduqué.