Après l’attentat de Boston et la gigantesque chasse à l’homme qui l’a suivi, l’heure est maintenant à la réflexion pour les médias américains. Dès avant la double explosion sur la ligne d’arrivée du...
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Alain Gerlache, chroniqueur à la RTBF, pose les bonnes questions après l'emballement médiatique qui a suivi les attentats de Boston.
Au coeur du débat: Les erreurs se propagent très vite sur les réseaux sociaux - il faut les traquer et les condamner - . Mais avec internet, elles n’ont jamais été contredites aussi vite. Il ne faut que quelques instants pour modifier un tweet ou mettre à jour un site d’infos. Alors qu'il faut plusieurs heures pour corriger une erreur commise dans un JT et une journée pour rectifier une info parue dans un journal imprimé.
Certes, mais les délais pour corriger, même courts, existent! Et comme le souligne Alain Gerlache, les "fausses pistes et la dénonciation d’innocents sur les réseaux sociaux" peuvent entraîner "une forme de lynchage sur internet qui a de quoi inquiéter".