Martin Malvy, tout comme les présidents de conseils généraux et les responsables des principales collectivités de Midi-Pyrénées, contestent les règles annoncées par Bruxelles pour la répartition des « enveloppes » des prochains programmes européens.

Cette répartition prévoit en effet que les régions dont le PIB par habitant est supérieur à 90 % de la moyenne européenne, soient considérées comme « régions riches » et à ce titre moins bien dotées que les autres.