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Soirée théâtre à Arreau le 26 juillet
Un village ordinaire. Une famille banale : un père, une mère, une fille, un garçon, un grand-père quasi centenaire, une vache. De vrais gens. Ici, les touristes ne font que s’arrêter pour se dégourdir les jambes et se soulager avant d’atteindre les sommets neigeux où merveilles, curiosités, spécialités et… professionnels du tourisme les attendent. Comment survivre, isolé au milieu des Alpages. Le fils entrevoit la solution et propose à la famille de jouer pour les touristes des scènes « typiques de la vie paysanne ». Faute de répertoire, on aura recours à « Heidi » et de trac en truc, on triche pour gagner plus… Cette comédie rurale née en Helvétie il y a une dizaine d’années, prémonitoire d’un autre show fermier, télévisuel celui-là, nous renvoie l’image, de cette course folle au toujours plus vrai, plus authentique. La pièce, rythmée comme une machine impitoyable par les arrivées des bus des touristes, est un lent dérèglement, une plongée dans l’absurde et la médiocrité qui mène droit à la violence. Un miroir à peine déformant de notre société du spectacle. https://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Peepshow-dans-les-Alpes/ensavoirplus/ Spectacle payant : 10€, gratuit pour les moins de 18 ans.
Lundi 13 août à 21h à la patinoire de Saint-Lary Soulan, représentation de la pièce de Feydeau "L'Hôtel du libre échange" par la troupe de l’atelier théâtre de l’ARCAL . " Sécurité et discrétion, hôtel du Libre Echange, 220 rue de Provence, recommandé aux gens mariés, ensemble ou séparément ". Lorsque Madame Pinglet lit cette annonce publicitaire de l'Hôtel du Libre Echange à son mari, elle est outrée, mais ignore encore que ce dernier vient justement d'y donner rendez-vous à l'épouse de Monsieur Paillardin, leur voisin... Et c'est finalement tout un petit monde de bourgeois, frustrés et mesquins, qui se retrouvera inopinément dans cet hôtel borgne pour une folle nuit et des péripéties délirantes. Un festival de quiproquos, de mensonges, de malentendus et de rebondissements ; un sommet dans l'art de claquer les portes, d'ouvrir les mauvaises, celles qui ne ferment pas, ou de regarder par le trou de la serrure : toute la mécanique du vaudeville est dans cette pièce et Feydeau y excelle pour le plus grand plaisir du spectacteur. Le propos joue avec l'absurde, conduit du banal au délire C'est du Théâtre de boulevard, grinçant, mais drôle et réjouissant à la fois, qui invite à la plus franche des vertus théâtrales : le fou rire ! A voir sans modération. En observateur lucide de la société de son temps, Feydeau bâtit ses intrigues en scrutant la nature humaine. Il domine le Théâtre de boulevard de la fin du XIXème siècle et excelle dans l'art de la mécanique du vaudeville, au rythme rapide et dynamique - où le spectateur est sans arrêt intrigué et intéressé par ce qui se passe sur scène-. La capacité de Feydeau à transformer une situation banale en délire scénique ont fait dire de lui qu'il a annoncé le théâtre burlesque... Mise en scène Hervé Carrère Décor Loïc Leclerc/Hervé Carrère Costumes Caroline Laroche
Via Scoop.it Aure Louron
Vendredi à 21h, c'est la première de la pièce de Feydeau "L'Hôtel du libre échange" par la troupe de l’atelier théâtre de l’ARCAL à la salle Terminus d'Arreau. " Sécurité et discrétion, hôtel du Libre Echange, 220 rue de Provence, recommandé aux gens mariés, ensemble ou séparément ". Lorsque Madame Pinglet lit cette annonce publicitaire de l'Hôtel du Libre Echange à son mari, elle est outrée, mais ignore encore que ce dernier vient justement d'y donner rendez-vous à l'épouse de Monsieur Paillardin, leur voisin... Et c'est finalement tout un petit monde de bourgeois, frustrés et mesquins, qui se retrouvera inopinément dans cet hôtel borgne pour une folle nuit et des péripéties délirantes. Un festival de quiproquos, de mensonges, de malentendus et de rebondissements ; un sommet dans l'art de claquer les portes, d'ouvrir les mauvaises, celles qui ne ferment pas, ou de regarder par le trou de la serrure : toute la mécanique du vaudeville est dans cette pièce et Feydeau y excelle pour le plus grand plaisir du spectacteur. Le propos joue avec l'absurde, conduit du banal au délire C'est du Théâtre de boulevard, grinçant, mais drôle et réjouissant à la fois, qui invite à la plus franche des vertus théâtrales : le fou rire ! A voir sans modération. En observateur lucide de la société de son temps, Feydeau bâtit ses intrigues en scrutant la nature humaine. Il domine le Théâtre de boulevard de la fin du XIXème siècle et excelle dans l'art de la mécanique du vaudeville, au rythme rapide et dynamique - où le spectateur est sans arrêt intrigué et intéressé par ce qui se passe sur scène-. La capacité de Feydeau à transformer une situation banale en délire scénique ont fait dire de lui qu'il a annoncé le théâtre burlesque... Mise en scène Hervé Carrère Décor Loïc Leclerc/Hervé Carrère Costumes Caroline Laroche
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Soirée théâtre à Arreau le 28 mars
"Jacques et Mylène est une comédie délirante, une tragique histoire d'amour, une parodie échevelée, un pastiche de série Z, un vaudeville contemporain qui malmène les codes du théâtre et allie sans complexe la modernité au kitsch, la tradition au trash, la finesse à l'indélicatesse. Une pièce où l'humour ne se compte plus en degrés, où le rythme dépasse la croisière, où le décalage et la cocasserie règnent en maîtres. Quand les 26000 couverts réduisent la tablée, le désordre et la surprise restent la règle, tout est possible. Et vraiment drôle. Les 26000 couverts tracent depuis une vingtaine d'années un itinéraire artistique singulier. Ils font des farces pour mieux s'emparer du sacré et bousculent joyeusement la routine. C'est cet esprit burlesque, décalé et poétique, et ce plaisir de la rencontre avec le public, qu'on retrouve dans leurs créations. En contrepoint des spectacles de troupe ou de bande qui ont fait leur réputation - le mythique Idéal Club présenté l'an passé ou Chamonix, comédie musicale futuriste présenté au Parvis en janvier - les 26000 couverts s'engagent ici dans un théâtre de poche qui n'enlève rien à leur folie coutumière ni à leur humour ravageur, bien au contraire." A la salle Le Terminus durée 1h15 tarif de 6€ à 12€ billetterie : 05 62 90 08 55 accueil@parvis.net https://www.parvis.net
Lundi 13 août à 21h à la patinoire de Saint-Lary Soulan, représentation de la pièce de Feydeau "L'Hôtel du libre échange" par la troupe de l’atelier théâtre de l’ARCAL . " Sécurité et discrétion, hôtel du Libre Echange, 220 rue de Provence, recommandé aux gens mariés, ensemble ou séparément ". Lorsque Madame Pinglet lit cette annonce publicitaire de l'Hôtel du Libre Echange à son mari, elle est outrée, mais ignore encore que ce dernier vient justement d'y donner rendez-vous à l'épouse de Monsieur Paillardin, leur voisin... Et c'est finalement tout un petit monde de bourgeois, frustrés et mesquins, qui se retrouvera inopinément dans cet hôtel borgne pour une folle nuit et des péripéties délirantes. Un festival de quiproquos, de mensonges, de malentendus et de rebondissements ; un sommet dans l'art de claquer les portes, d'ouvrir les mauvaises, celles qui ne ferment pas, ou de regarder par le trou de la serrure : toute la mécanique du vaudeville est dans cette pièce et Feydeau y excelle pour le plus grand plaisir du spectacteur. Le propos joue avec l'absurde, conduit du banal au délire C'est du Théâtre de boulevard, grinçant, mais drôle et réjouissant à la fois, qui invite à la plus franche des vertus théâtrales : le fou rire ! A voir sans modération. En observateur lucide de la société de son temps, Feydeau bâtit ses intrigues en scrutant la nature humaine. Il domine le Théâtre de boulevard de la fin du XIXème siècle et excelle dans l'art de la mécanique du vaudeville, au rythme rapide et dynamique - où le spectateur est sans arrêt intrigué et intéressé par ce qui se passe sur scène-. La capacité de Feydeau à transformer une situation banale en délire scénique ont fait dire de lui qu'il a annoncé le théâtre burlesque... Mise en scène Hervé Carrère Décor Loïc Leclerc/Hervé Carrère Costumes Caroline Laroche
Via Scoop.it Aure Louron
Vendredi 20 juillet à 21h à la salle des fêtes de Vielle-Aure, représentation de la pièce de Feydeau "L'Hôtel du libre échange" par la troupe de l’atelier théâtre de l’ARCAL . " Sécurité et discrétion, hôtel du Libre Echange, 220 rue de Provence, recommandé aux gens mariés, ensemble ou séparément ". Lorsque Madame Pinglet lit cette annonce publicitaire de l'Hôtel du Libre Echange à son mari, elle est outrée, mais ignore encore que ce dernier vient justement d'y donner rendez-vous à l'épouse de Monsieur Paillardin, leur voisin... Et c'est finalement tout un petit monde de bourgeois, frustrés et mesquins, qui se retrouvera inopinément dans cet hôtel borgne pour une folle nuit et des péripéties délirantes. Un festival de quiproquos, de mensonges, de malentendus et de rebondissements ; un sommet dans l'art de claquer les portes, d'ouvrir les mauvaises, celles qui ne ferment pas, ou de regarder par le trou de la serrure : toute la mécanique du vaudeville est dans cette pièce et Feydeau y excelle pour le plus grand plaisir du spectacteur. Le propos joue avec l'absurde, conduit du banal au délire C'est du Théâtre de boulevard, grinçant, mais drôle et réjouissant à la fois, qui invite à la plus franche des vertus théâtrales : le fou rire ! A voir sans modération. En observateur lucide de la société de son temps, Feydeau bâtit ses intrigues en scrutant la nature humaine. Il domine le Théâtre de boulevard de la fin du XIXème siècle et excelle dans l'art de la mécanique du vaudeville, au rythme rapide et dynamique - où le spectateur est sans arrêt intrigué et intéressé par ce qui se passe sur scène-. La capacité de Feydeau à transformer une situation banale en délire scénique ont fait dire de lui qu'il a annoncé le théâtre burlesque... Mise en scène Hervé Carrère Décor Loïc Leclerc/Hervé Carrère Costumes Caroline Laroche
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Un peep show gratuit pour les mineurs ? :-)