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La Commission européenne, selon un document obtenu par Reporterre, entend imposer à l’État français la désintégration du groupe EDF au nom du respect des règles de la concurrence. La « réforme » de Bruxelles va encore plus loin que le projet gouvernemental Hercule, qui veut démembrer EDF. 
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Pour illustration - source sous licence CC BY-SA 3.0
Test des sirènes ce mercredi vers midi
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Il y en a 8 sirènes réparties dans la vallée et gérées par les exploitants :
- CAP DE LONG > EDF
- FABIAN > EDF
- PONT DU MOUDANG > SHEM
- EGET CITE > SHEM
- SAINT-LARY SOULAN téléphérique > EDF
- SAINT-LARY SOULAN pompiers > EDF
- VIELLE-AURE > SHEM
- BOURISP > SHEM
* En ce qui nous concerne les barrages de l'Oule et de Cap
de Long.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Des tests ont effectivement eu lieu sur les sirènes à 11h 15 et 12h 15.
Pour ne pas être surpris la prochaine fois : le test suivant aura lieu le mercredi 19 septembre.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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Pour illustration - source sous licence CC BY-SA 3.0
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Il y en a 8 sirènes réparties dans la vallée et gérées par les exploitants :
- CAP DE LONG > EDF
- FABIAN > EDF
- PONT DU MOUDANG > SHEM
- EGET CITE > SHEM
- SAINT-LARY SOULAN téléphérique > EDF
- SAINT-LARY SOULAN pompiers > EDF
- VIELLE-AURE > SHEM
- BOURISP > SHEM
* En ce qui nous concerne les barrages de l'Oule et de Cap
de Long.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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Localisées en aval des grands barrages, dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Il y en a 8 sirènes réparties dans la vallée et gérées par les exploitants :
- CAP DE LONG > EDF
- FABIAN > EDF
- PONT DU MOUDANG > SHEM
- EGET CITE > SHEM
- SAINT-LARY SOULAN téléphérique > EDF
- SAINT-LARY SOULAN pompiers > EDF
- VIELLE-AURE > SHEM
- BOURISP > SHEM
Philippe Villette
Des tests ont effectivement eu lieu sur les sirènes à 11h 15 et 12h 15.
Pour ne pas être surpris la prochaine fois : le test suivant aura lieu le mercredi 19 septembre.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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Photo : travaux sur l'évacuateur de crues du barrage de l'Oule
A l'occasion des voeux présentés le 10 janvier par Pierre Chambon, directeur général de la Société Hydroélectrique du Midi (SHEM), un bilan des activités de l'année écouée a été dressé. L’agrandissement de l’évacuateur du barrage de l’Oule a été le chantier phare de l’année 2017 en parallèle des travaux sur la prise d’eau de la Neste de Lapès, des grandes inspections des téléphériques et autres travaux. Au global, en 2017, la SHEM a consacré 5 millions d’euros à la maintenance de ses installations en vallées…
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Tout au long de leur exploitation, les barrages sont surveillés, auscultés et entretenus. Les ouvrages de la SHEM et d’EDF sont équipés de dispositifs d’auscultation - pendules, piézomètres - qui détectent le moindre mouvement de l’ouvrage et son comportement hydraulique par relevé des infiltrations d’eau et des sous-pressions. Le but est de vérifier l’efficacité du drainage et des dispositifs d’étanchéité. Les données récoltées sont télétransmises, enregistrées et analysées afin d’obtenir un diagnostic de santé du barrage et détecter d’éventuelles anomalies.
Voir les travaux de requalibrage de l'évacuateur de crues du barrage de l'Oule (SHEM) : http://sco.lt/5FWBpB
Voir l'inspection décennale du barrage de Cap-de-Long (EDF) : http://sco.lt/7zKboH
Revue de presse sur les crues du 18 juin 2013 (75 articles)
: https://tinyurl.com/jak7zlo
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Pour éviter les coupures électriques en période de forte consommation, Enedis (ex ERDF) peut compter sur les barrages des Pyrénées. Ils offrent une réserve de puissance immédiatement disponible et donc parfaitement adaptée pour faire face au pic de demande. L'exemple du barrage du lac de l'Oule exploité par la SHEM.
RTE, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité prévoit notamment pour le jeudi 19 janvier 2017 un pic de consommation de 101 800 MW
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On s'est beaucoup extasié, à raison, sur la mise à nu du barrage d'Aubert. Il en est un autre, qui fait moins parler de lui et sur lequel des travaux importants sont réalisés : le barrage du Rioumajou. Situé au pied du restaurant l'Escalette, il est actuellement vidé comme en témoignent les photos du diaporama.
La raison de ce déshabillage en règle ?
Des travaux sur le parement amont du barrage et la mise en place d'une géomembrane permettant de renforcer, comme à Aubert, l'étanchéité de l'ouvrage.
Les travaux, qui ont duré toute la saison estivale, arrivent bientôt à leur terme.
Rappelons que ce barrage de taille modeste (sa capacité de près de 60 000 m3 représente moins de 1 millième de celle de Cap-de-Long) a été mis en eau en 1946. Il alimente la centrale de Maison Blanche située à l'entrée de la vallée après avoir emprunté une galerie de près de 5 km de long ainsi qu'une conduite forcée de près de 300 m de chute nette. Maison Blanche peut produire de l'électricité pour une ville d'environ 11 000 habitants.
L'eau turbinée est ensuite siphonnée pour rejoindre la centrale de Saint-Lary.
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A la suite du séisme de magnitude 4,7 ressenti le 29 avril 2014 dans la région de Lourdes, les techniciens d’EDF Hydraulique Adour et Gaves ont lancé le contrôle des ouvrages hydrauliques prévu dans ces circonstances et confirment que les barrages EDF n’ont subi aucun impact.
En vallée d'Aure, les barrages de Cap-de-Long et de l'Oule sont soumis à un PPI (Plan Particulier d'Intervention) établi par la préfecture.
Lire cette note sur le risque de rupture de barrage
Consultez la carte de répartition des risques par communes
Consultez ce guide de bonnes pratiques : "Recueil des expériences mises en oeuvre dans les Pyrénées pour la prévention du risque sismique (DREAL Midi-Pyrénées - novembre 2013)
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A 5'16"
"Au menu du 29e congrès de l'Association Nationale des Élus de la Montagne (ANEM) qui se déroule en ce moment à Cauterets avec la présence de Philippe Martin, ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie : la loi sur l'eau, la protection contre l'ours, l'énergie hydraulique...."
Lire aussi : http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/18/1733897-philippe-martin-pret-a-amenager-la-loi-sur-l-eau.html
Demandez le programme ! http://www.anem.org/congres.asp
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Histoire du barrage de Cap-de-Long (les galeries) en appui de l'exposition
"Cap de Long – Pragnères - L’eau au sommet de sa force" qui se tient actuellement au CEDAS d'Ancizan : http://sco.lt/5gXlmj
Lire aussi : "La cueillette de l'eau : le système pyrénéen" : http://www.aure-sobrarbe.net/la-cueillette-de-leau-le-systeme-pyreneen
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"A la sortie de l'hiver, les barrages sont au plus bas, car ils ont été très sollicités et parce qu'EDF a anticipé la période de fonte des neiges afin de limiter le risque de crue."
Si l'on entend dire dans les vallées que les crues sont redoutées, c'est peut être un peu à la Dépêche qu'on le doit ...
Voir cet article du 6 avril intitulé :
"La menace d'une crue d'envergure dans la région"
où il est dit :
«Les barrages des Hautes-Pyrénées sont pleins à craquer depuis quelques semaines. Il y a longtemps que le niveau de l'eau n'avait pas été si haut», assure un agent d'EDF qui travaille dans une centrale hydroélectrique de la vallée de Luz-Saint-Sauveur."
Affaire à suivre sur d'autres médias ...
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![Test des sirènes "barrage" ce mercredi 17 juin en haute vallée d'Aure [MAJ 30/06] | Vallées d'Aure & Louron - Pyrénées | Scoop.it](https://img.scoop.it/fC8hMJWZ4FlokaMQEf8NwDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
Photo Sirène "barrage" de Bourisp
Si, en amont de Bourisp , Vielle-Aure et Saint-Lary vous entendez, ce mercredi midi, une corne de brume qui retentit plusieurs fois, ne paniquez pas : il s'agit du test des sirènes "barrage" réalisé chaque trimestre en haute vallée d'Aure.
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume (dispositif adapté avec la météo actuelle :-)
Il comporte un cycle d’une durée minimum de 2 minutes, composée d’émissions sonores de deux secondes séparées par un intervalle de trois secondes.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
Lors du test de la sirène, le signal ne comporte qu’un cycle d’une durée de 12 secondes composé de trois émissions sonores de 2 secondes séparées d’un intervalle de 3 secondes.
Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Il y en a 8 sirènes réparties dans la vallée et gérées par les exploitants :
- CAP DE LONG > EDF
- FABIAN > EDF
- PONT DU MOUDANG > SHEM
- EGET CITE > SHEM
- SAINT-LARY SOULAN téléphérique > EDF
- SAINT-LARY SOULAN pompiers > EDF
- VIELLE-AURE > SHEM
- BOURISP > SHEM
PV
* En ce qui nous concerne les barrages de l'Oule et de Cap
de Long.
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Des tests ont effectivement eu lieu sur les sirènes à 11h 15 et 12h 15.
Pour ne pas être surpris la prochaine fois : le test suivant aura lieu le mercredi 19 septembre.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
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Test des sirènes ce mercredi vers midi
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Il y en a 8 sirènes réparties dans la vallée et gérées par les exploitants :
- CAP DE LONG > EDF
- FABIAN > EDF
- PONT DU MOUDANG > SHEM
- EGET CITE > SHEM
- SAINT-LARY SOULAN téléphérique > EDF
- SAINT-LARY SOULAN pompiers > EDF
- VIELLE-AURE > SHEM
- BOURISP > SHEM
* En ce qui nous concerne les barrages de l'Oule et de Cap
de Long.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
Des tests ont effectivement eu lieu sur les sirènes à 11h 15 et 12h 15.
Pour ne pas être surpris la prochaine fois : le test suivant aura lieu le mercredi 19 septembre.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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"Le scénario suivant est inspiré de faits réels qui se sont déroulés en Italie, pour le barrage de Vajont. Le 9 octobre 1963, à 22 h 39, un glissement de terrain fait s'écouler 260 millions de mètres cubes de terre et de roche dans le lac de retenue du barrage, produisant une gerbe d'eau de plus de 150 m au-dessus de l'ouvrage, suivie par le déversement prolongé d'une lame d'eau de 15 à 20 m d'épaisseur."
Si les élève se préparent à une éventuelle rupture de barrage et suivent le plan d'évacuation, qu'en est-il des habitants des villages dans le cadre des Plans Communaux de Sauvegarde (PCS) ?
Si les 8 sirènes "barrage" du PPI L'Oule - Cap-de-Long ont bien retenti mercredi dernier, peu d'information officielle à destination des habitants.
La préfecture sollicitée en ce qui concerne le PPI n'a pas répondu.
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Pour illustration - source sous licence CC BY-SA 3.0
Localisées en aval des grands barrages, dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les premiers mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15.
Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
En aval de cette zone de "sécurité immédiate", les populations sont alertées par les pouvoirs publics au moyen des sirènes du réseau général d'alerte ou de véhicules de pompiers avec haut-parleur.
http://www.irma-grenoble.com/05documentation/03consignes_afficher.php?id_RSD=21
Bon, pour ma part, à Guchan, aucune sirène entendue ni au titre des test mensuels habituels, ni au titre des essais trimestriels en cas de rupture de barrage.
La procédure demandera à être explicitée.
Les communes de la vallée d'Aure qui seraient impactées par une rupture de barrage :
https://cms.terralego.com/backend-ddt65/media/carte-alea_rpt-barrage_v2.pdf
Par ailleurs, Jeudi 7 juin après-midi, au collège Maréchal Foch d'Arreau, aura lieu un exercice Plan Particulier de Mise en Sécurité rupture de barrage. L'ensemble de la communauté scolaire y participera :
http://marechal-foch.entmip.fr/espace-public/exercice-ppms-10899.htm
Lire également ce PLAN FAMILIAL DE MISE EN SÛRETÉ (PFMS): https://www.mairie-saint-lary.fr//files/medias/documents/Actualites/PFMS_jeprotegemafamille_-1-.pdf
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...)
Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000786335&categorieLien=id
[MAJ]
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
https://mobile.interieur.gouv.fr/Alerte/Alerte-ORSEC/Comment-reagir-au-signal-national-d-alerte
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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Philippe Solans, directeur du groupement d'usines SHEM/Eget devant l'évacuateur de crues du barrage de l'Oule
"La Société Hydro-Electrique du Midi (SHEM), « petite » filiale balmanaise d'ENGIE, entend profiter du renouvellement des concessions pour grandir. L’entreprise poursuit donc son ambitieuse politique d’investissement : 12,70 M€ rien que pour les Hautes-Pyrénées."
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Afin de compenser la gène* que pourraient occasionner les travaux entrepris par la SHEM (Société Hydro-Électrique du Midi - groupe ENGIE), aux abords du barrage de l'Oule, celle-ci propose exceptionnellement aux habitants de la vallée d'Aure et aux touristes de visiter les entrailles de l'infrastructure pendant tout l'été.
Ces derniers pourront ainsi découvrir les galeries qui drainent l'édifice et effectuer un voyage à travers le temps.
Les écoliers de la haute vallée d'Aure auront pu également bénéficier de ces visites.
Les travaux entrepris par la SHEM qui concernent la mise aux normes de l'évacuateur de crue ont déjà été relatés sur scoop.it : http://sco.lt/5FWBpB.
On rappellera simplement qu'il s'agit de mettre en conformité les barrages avec une règlementation qui considère une probabilité d'occurrence de crue non plus centenale mais millénale (en terme de débit, une probabilité d'apparition sur une année de 1/1000), voire décamillénale.
Ainsi, le débit de l'évacuateur de crue du barrage de l'Oule sera multiplié par 10 passant de 10 m3/seconde à 100 m3/s.
Un nouveau déversoir en inox et dont la forme rappelle des touches de piano ("Piano Key Weir") sera installé cet été qui conduira à une nouvelle descenderie composée de 109 marches sur une longueur de 200 mètres.
L'opération délicate qui consiste en la jonction de ces deux éléments sera réalisée en août.
Le planning qui impose la fin des travaux pour novembre 2017 sera respecté par le groupement d'entreprises locales qui oeuvrent sur ce chantier (Socabat de Vignec, ATTM de Saint-Lary Soulan, GTS et Guintoli de Tarbes, Pratdessus de Luz-Saint-Sauveur et SLTS de Loudenvielle).
Ces travaux de mises aux normes se montent à 15 millions d'euros pour la SHEM dont 3 pour le barrage de l'Oule. Ils auront nécessité la pose de deux blondins pour acheminer les matériaux, évitant ainsi les héliportages, ainsi que le dérochement et l'arasement du terrain aux abords du déversoir. Les 300 pins arrachés seront remplacés par un millier de plants en collaboration avec le conservatoire botanique de Bagnères-de-Bigorre.
La SHEM par la voix de son directeur général Pierre Chambon s'est dite satisfaite du travail des entreprises et de la collaboration avec les collectivités locales concernées par le chantier.
Les visites du barrage auront lieu :
Réservation indispensable au 06 62 39 66 40 de 7h 45 à 11h 45 et de 13h à 17h les jours ouvrables.
* Pour des raisons de sécurité, le tour du lac se fera à partir de la rive gauche de la retenue, côté refuge en aller-retour sur le chemin qui longe le lac. L'accès est toujours possible depuis Artigusse, la SHEM ayant créé un nouveau sentier aux abords du barrage et une déviation pour accéder au refuge. L'itinéraire est accessible aux Joëlettes.
Philippe Villette
Le barrage de l'Oule a une capacité de 16.6 millions de m3, ce qui en fait le deuxième de la vallée par son volume après celui de Cap-de-Long qui, lui, est exploité dans la vallée des Gaves (centrale de Pragnères). La production totale d'électricité du groupement d'Eget est de 35 mégawatts (2 mégawatts issus du turbinage au barrage et 33 Mw à la centrale d'Eget). Orédon et L'Oule sont les apporteurs principaux du canal de la Neste qui alimente les cours d'eau du plateau de Lannemezan et du sud du Gers.
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A l'occasion des voeux, Pierre Chambon, PDG de la SHEM (Société Hydroélectrique du Midi), a évoqué les travaux qui seront menés en 2017 : Outre l'agrandissement de l'évacuateur de crues du barrage de l'Oule, sera entreprise la réfection du revêtement de la galerie d'amenée d'eaux entre le barrage et l'usine d'Eget ainsi que la pose de fibre optique sur 3 km entre Orédon et l'Oule afin de rapatrier les données des capteurs du barrage et améliorer ainsi sa surveillance.
A la suite du succès remporté par le point info organisé au barrage à l’été 2016, la SHEM organisera des visites des galeries intérieures du barrage de l’Oule à l’été 2017.
Des travaux auront également lieu dans le Louron.
Au total, la SHEM prévoit d’investir 6,5 M€ sur l’année 2017 sur les deux vallées en faisant travailler des entreprises locales.
Concernant le renouvellement des concessions, voir la consultation GEDRE Louron destinée à faire connaitre les enjeux et les attentes des usagers et acteurs de proximité concernant la ressource en eau : http://sco.lt/5gIM1B
Revue de presse sur la SHEM
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Pour se protéger de la crue exceptionnelle qui survient tous les mille ans, la Shem réalise un nouveau système d'évacuation. Hier, un pan de montagne a été dynamité et un hélicoptère a déposé le câble du téléphérique qui acheminera le béton.
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Si le 7 octobre, Aubert était au plus bas, petit à petit, le moral et le niveau remontent. Il faudra attendre encore pas mal de temps pour qu'il reprenne la forme et son volume d'antan.
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"A quelques semaines de l'arbitrage de l'Etat, les élus sont partagés sur l'exploitation de la rente.
EDF développe son fonds d'intervention pour revitaliser les entreprises des vallées."
Extrait : "« L'hydroélectricité génère 700 emplois directs et indirects dans les Hautes-Pyrénées et les recettes fiscales ont permis de construire les stations de ski », explique Michel Pélieu, président du conseil général de ce département."
Sur l'hydroélectricité, lire aussi : http://www.scoop.it/t/vallee-d-aure/?tag=hydro%C3%A9lectricit%C3%A9
Le rapport "Battistel - Straumann" sur l'hydroélectricité (septembre 2013) : http://www.energie2007.fr/images/upload/rapport_battistel_strauman_barrages_hydroelectricite_071013.pdf
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Rien de tel qu'un peu de lecture pour profiter au mieux de la visite. De nombreux articles sur le sujet vous attendent sur le site du CEDAS : http://www.aure-sobrarbe.net/
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La neige est tombée en abondance sur les Pyrénées, cette neige va désormais fondre avec les températures. Elle se transforme en eau stockée dans des barrages.
Un démenti sur l'article de la Dépêche du 6 avril 2013 qui relatait des propos indiquant que les barrages étaient "prêts à craquer"
http://sco.lt/8ykXNR
Un quart de la retenue maximale pour Cap-de-Long
A moins que la situation ne soit radicalement différente sur la vallée de Luz-Saint-Sauveur ...
Quoiqu'il en soit, l'occasion de voir de belles vues aériennes de Cap-de-Long
Extrait : "Ce plan prévoit la scission du groupe en plusieurs parties : une société baptisée Bleue pour le nucléaire historique, détenue à 100 % par l’État ; Bleue serait actionnaire à 100 % d’une société Azur, qui récupérerait les barrages hydroélectriques, ce qui permettrait d’échapper à la mise en concurrence des concessions échues."
Revue de presse sur la mise en concurrence des concessions hydroélectriques