"Un territoire qui vit" - Curation de contenu électronique sur les vallees des Pyrenees : Aure, Louron, Nord-Sobrarbe et environs. Egalement sur Facebook : https://www.facebook.com/Aure.Louron et sur X (Twitter) : https://twitter.com/Aure65 - contact : info@pyrenees-aure-louron.eu
"Avec l’arrivée des estivants, la Société Hydro-Electrique du Midi (SHEM, filiale d’ENGIE), rappelle les consignes de sécurité à respecter aux abords des cours d’eau équipés d’usines et de barrages hydroélectriques et relance son dispositif d’information.
Lorsque la demande d’électricité est importante, les usines hydroélectriques doivent y répondre et démarrer rapidement. Cette souplesse et cette réactivité nécessitent des lâchers d’eau qui peuvent entraîner la montée rapide du niveau des cours d’eau aux abords des ouvrages hydrauliques.
Afin de sensibiliser les estivants aux règles de sécurité à observer aux abords de ces ouvrages et de prévenir les risques, la SHEM sensibilise à la prévention, à travers des supports d’information et des signalisations spécifiques."
"À la veille de l’ouverture de la pêche, la SHEM, Société Hydro-Electrique du Midi (filiale d’ENGIE) rappelle les consignes de sécurité à respecter aux abords des cours d’eau équipés d’usines et de barrages hydroélectriques et relance son dispositif d’information."
Nos vallées pyrénéennes sont soumises à de nombreux risques naturels (avalanches, mouvements de terrains, séismes, crues, feux de forêts ...) et industriels (risque de rupture de barrages* en ce qui nous concerne). C'est pourquoi il est important de connaitre les mesures prises par les autorités (Etat, préfectures, communautés de communes, communes ...) pour nous informer en cas de crise. Concernant ces dernières, vous pouvez vous renseigner auprès de votre mairie pour connaitre l'effectivité de son Plan Communal de Sauvegarde (PCS), sachant que ce dispositif va concerner également la communauté de communes (cf. dossier de presse).
Compléments d'information relatifs à notre territoire de la part de la préfecture des Hautes-Pyrénées le 17 avril
"Les grands barrages bénéficient de 2 systèmes de sirènes différents :
les sirènes PPI (corne de brume) qui ont pour rôle d'alerter les populations situées dans la zone dite "de proximité immédiate" et qui font l'objet d'un test spécifique de la part des exploitants ;
les sirènes du réseau SAIP (Système d'Alerte et d'informations aux populations), citées dans le dossier de presse, déployées jusqu'en limite de département, testées tous les 1ers mercredi du mois à 12h15. Tous les secteurs du département concernés par des plans particuliers d'intervention (PPI) sont équipés (Nexter, Arkema et les 2 grands barrages). La plaquette est à la charge des exploitants et l’objectif sera d’en assurer la diffusion fin 2023."
Concernant les sirènes PPI, voir cette précédente communication dans Scoop.it Aure Louron : https://sco.lt/4lHjDE
* Barrages de Cap-de-Long et de l'Oule, objets de plans particuliers d'intervention en vallée d'Aure.
Le jeudi 23 janvier 2020, dans le cadre de la formation initiale 2019 des correspondants sûretés (CS) et de l’opération « Proximité Commerces65 », le référent sûreté (RS) du groupement de gendarmerie des Hautes-Pyrénées, accompagné du correspondant sûreté de la gendarmerie de Vignec ont délivré des conseils en matière de prévention technique de la malveillance auprès de commerçants de Saint Lary Soulan.
Un dispositif de prévention et de lutte contre la délinquance en milieu rural a été mis en place par le préfet des Hautes-Pyrénées et le Groupement de gendarmerie par le biais d’une convention qui crée un réseau « protecteurs du monde rural » dans le département.
L’objectif est de conjuguer les efforts communs pour lutter efficacement contre toutes les formes d’insécurité et de délinquance en milieu rural et plus particulièrement au sein des territoires de plaine, de montagne et des massifs forestiers des Hautes-Pyrénées.
Le réseau « protecteurs du monde rural » est un réseau de vigilance complémentaire des dispositifs territoriaux de participation citoyenne et thématiques (« Vigicommerces » par exemple) ayant pour objectif majeur d’informer au plus vite et d’impliquer tous les acteurs du monde de la Faune et de la Flore dans une « co-production » de sécurité selon le mode d’action global visant à « Observer, Alerter, et Sensibiliser ».
Il s’agit d’apporter une meilleure réponse aux préoccupations en développant l’échange des informations relatives à la prévention de la délinquance en général et à la lutte contre les infractions à la loi pénale et au code de l’environnement en particulier.
7 acteurs du monde de la Faune et de la Flore et les associations des maires du département ont signé la convention :
l’association des maires ruraux des Hautes-Pyrénées ;
l’association départementale des maires des Hautes-Pyrénées ;
l’association des piégeurs agréés des Hautes-Pyrénées ;
l’Office national des forêts ;
le Parc national des Pyrénées ;
la Fédération départementale des chasseurs ;
l’association des lieutenants de louveterie des Hautes-Pyrénées ;
la Fédération des gardes particuliers des Hautes-Pyrénées ;
Jeudi matin, un exercice « attentat intrusion » s’est tenu simultanément dans tous les établissements scolaires du département. En préfecture, un retour sur les faits devait être engagé.
Scoop.it Aure Louron's insight:
Un exercice qui a également concerné les établissements scolaires des vallées.
Ainsi, les collègiens d'Arreau y ont participé sans avoir été avertis au préalable. Ce type d'exercice permet d'installer des réflexes adaptés aux situations et de corriger les défauts éventuels constatés.
Nombreux sont ceux qui profitent des vacances pour aller chercher un grand bol d’air dans les montagnes. Les Pyrénées et ses sentiers sont prisés des randonneurs de tous niveaux. Mais avant de se chausser et de mettre le sac sur le dos, il faut respecter quelques consignes de prudence.
Scoop.it Aure Louron's insight:
Conseils utiles en ces temps orageux. Ne pas oublier, non plus, et pas uniquement pour des raisons de sécurité, les possibilités de sortie avec les accompagnateurs en montagne.
La nuit de la Saint-Sylvestre aura été relativement calme sur l'arrondissement de Bagnères-de-Bigorre. Mis à part quelques incidents liés à la consommation excessive d'alcool à Saint-Lary et à la station de La Mongie ou encore cette fermeture tardive d'un bar.
Scoop.it Aure Louron's insight:
Sur Saint-Lary, en fin de nuit, quelques tensions sur la voie publique liées à la consommation d'alcool.
Après des années de tergiversation, les pneus neige seront obligatoires dans certains secteurs des départements montagneux à partir du 1er novembre 2019. D'ici là les maires seront consultés pour en dresser la liste.
Scoop.it Aure Louron's insight:
Les départements de Savoie et de Haute-Savoie ne seront pas les seuls concernés. Des communes de nos vallées pourraient être consultées par la préfecture ... Ceci-dit, les chaines resteront toujours utiles et obligatoires en fonction de l'enneigement du réseau routier.
"Le scénario suivant est inspiré de faits réels qui se sont déroulés en Italie, pour le barrage de Vajont. Le 9 octobre 1963, à 22 h 39, un glissement de terrain fait s'écouler 260 millions de mètres cubes de terre et de roche dans le lac de retenue du barrage, produisant une gerbe d'eau de plus de 150 m au-dessus de l'ouvrage, suivie par le déversement prolongé d'une lame d'eau de 15 à 20 m d'épaisseur."
Scoop.it Aure Louron's insight:
Si les élève se préparent à une éventuelle rupture de barrage et suivent le plan d'évacuation, qu'en est-il des habitants des villages dans le cadre des Plans Communaux de Sauvegarde (PCS) ? Si les 8 sirènes "barrage" du PPI L'Oule - Cap-de-Long ont bien retenti mercredi dernier, peu d'information officielle à destination des habitants. La préfecture sollicitée en ce qui concerne le PPI n'a pas répondu.
Localisées en aval des grands barrages, dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume. Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les premiers mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15. Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
Bon, pour ma part, à Guchan, aucune sirène entendue ni au titre des test mensuels habituels, ni au titre des essais trimestriels en cas de rupture de barrage. La procédure demandera à être explicitée.
Par ailleurs, Jeudi 7 juin après-midi, au collège Maréchal Foch d'Arreau, aura lieu un exercice Plan Particulier de Mise en Sécurité rupture de barrage. L'ensemble de la communauté scolaire y participera : http://marechal-foch.entmip.fr/espace-public/exercice-ppms-10899.htm
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Altiservice est finaliste aux MASE* AWARDS 2018 région Sud-Ouest pour ses bonnes pratiques Santé Sécurité au travail.
Afin d'atteindre son objectif principal qui est de "garantir l'intégrité physique et morale de ses collaborateur", Altiservice a élaboré, il y a plus d'un an, 11 règles préventives établies à partir de retours d'expérience. Ce sont ces règles, leur déploiement, les nombreux outils pour leur déclinaison et accompagnement qu'ont retenu les organisateurs du MASE AWARDS S.O.. On reconnait Régine Hamecher sur le clip qui a été tourné ces jours-ci à Saint-Lary Soulan. Le vote final aura lieu le 19 juin à Agen au moment du congrès MASE région sud ouest qui rassemblera environ 300 entreprises.
Par ailleurs, chaque station Altiservice visera l'obtention de la certification MASE en septembre 2018.
*MASE est un système de management dont l’objectif est l’amélioration permanente et continue des performances Sécurité Santé Environnement des entreprises. http://www.mase-asso.fr/ Sur le MASE AWARDS 2018 : https://www.maseso.fr/index.php…
Vaches, mais aussi chiens, patous, font partie du décor lorsque l'on randonne en montagne. Les animaux ne sont pas toujours habitués à voir l'homme sur leur territoire. De rares accidents se produisent, mais en respectant quelques règles de bon sens, ils peuvent être évités.
La première action de l’opération Prévention Montagne Pyrénées a été lancée, le samedi 8 juillet, au refuge des Oulettes de Gaube, en présence de Jean Salomon, préfet des Hautes-Pyrénées.
Scoop.it Aure Louron's insight:
Les animateurs de l'Office départemental des sports des Hautes-Pyrénées proposeront des ateliers de prévention des risques. Concernant notre secteur, ils iront, au long de la saison, au refuge d'Aygues-Cluses (03.08). Ils passeront dans les sites de forte affluence (Arreau (23.07) et pendant les courses (Grand Raid des Pyrénées – Vielle Aure (25.08).
Les préconisations offertes par l'Office départemental sont de différents ordres depuis des conseils de préparations jusqu'au rapport au milieu naturel. On y parlera notamment d'équipement, de ravitaillement et de gestion de l'effort.
L'Observatoire pyrénéen du changement climatique de la Communauté de Travail des Pyrénées, a présenté les résultats de quatre années de travail sur des solutions naturelles contre les avalanches et les chutes de blocs, mardi 11 et mercredi 12 avril, à Laruns (Pyrénées-Atlantiques)
Scoop.it Aure Louron's insight:
Dans cet esprit, un ouvrage de soutènement relevant du génie végétal avait été réalisé en 2015 sur la piste des Bouleaux, en station de Saint-Lary Soulan par l'entreprise ATTM : https://sco.lt/5TE7O4
Des dispositifs variés en fonction de la topologie des lieux
Dans nos vallées sujettes à avalanches, glissements de terrains, chutes de blocs ... ont été mis en places différents dispositifs de protection tels les paravalanches sur la route d'Espagne, les rateliers dans la montagne de Bourgade , sous le Pic Poc et au versant sud du tunnel de Bielsa, les filets de sécurité sur la RD 929 au sud de Saint-Lary Soulan, des plantations de pins anti-avalanches au dessus de Soulan....
Historique des avalanches
Concernant ces dernières, vous pouvez consulter la Carte de Localisation des Phénomènes d'Avalanche (CLPA) qui décrit des phénomènes observés ou historiques, ayant pour vocation d'informer et de sensibiliser la population sur l'existence, en territoire de montagne, de zones où des avalanches se sont effectivement produites dans le passé, représentées par les limites extrêmes atteintes :
"Afin d'assurer la sécurité des citoyens, les commissions de sécurité contrôlent régulièrement les établissements recevant du public dont les refuges. Dans ce cadre, les membres de la commission composée d'un sapeur-pompier préventionniste, d'un gendarme, d'un membre du corps préfectoral, du maire, se déplacent afin d’inspecter les équipements de sécurité. Ce fut le cas le 25 juin lorsque la commission s'est rendue au refuge du Bastanet."
Cette vidéo a été réalisée avec l'équipes des pisteurs-secouristes de la station de Saint-Lary Soulan lors d'un exercice organisé, le 23 janvier, en partenariat avec la Préfecture des Hautes-Pyrénées, le service interministériel de défense et de protections civiles (SIDPC), et les services du secours en montagne.
Si, en amont de Bourisp , Vielle-Aure et Saint-Lary vous entendez, ce mercredi midi, une corne de brume qui retentit plusieurs fois, ne paniquez pas : il s'agit du test des sirènes "barrage" réalisé chaque trimestre en haute vallée d'Aure.
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume (dispositif adapté avec la météo actuelle :-)
Il comporte un cycle d’une durée minimum de 2 minutes, composée d’émissions sonores de deux secondes séparées par un intervalle de trois secondes.
Lors du test de la sirène, le signal ne comporte qu’un cycle d’une durée de 12 secondes composé de trois émissions sonores de 2 secondes séparées d’un intervalle de 3 secondes.
Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
"Les hommes de la communauté de brigades de Vignec sont intervenus, lundi dernier, sur les lieux d'un accident matériel dont l'auteur a pris la fuite sans s'assurer qu'il n'avait blessé personne."
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume.
Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume. Ce signal indique un risque de rupture imminente de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Localisées en aval des grands barrages* qui font l'objet d'un PPI (Plan Particulier d'Intervention), dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume. Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre.
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
Localisées en aval des grands barrages, dans la zone dite de "sécurité immédiate" (zone du premier quart d'heure), ces sirènes émettent un son spécifique, celui d’une corne de brume. Ce signal indique un risque de rupture imminent de l’ouvrage. Il doit se traduire par le comportement suivant « J’évacue et je gagne les points hauts ». Ces sirènes sont testées une fois par trimestre les troisièmes mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15. Ecouter le son : http://www.irma-grenoble.com/sons/corne-brume.wav
Il s'agit seulement d'un test comme il s'en produit chaque trimestre. Donc, pas de panique ! :-)
La préfecture et la DDT ont été interrogées plusieurs fois pour obtenir des détails sur les Plans Particuliers d'Intervention et les mesures de sécurité afférentes sans obtenir de réponse.
Extrait du Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention concernant certains ouvrages ou installations fixes et pris en application de l'article 15 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile.
(...) Les plans particuliers d'intervention sont établis, en vue de la protection des populations, des biens et de l'environnement, pour faire face aux risques particuliers liés à l'existence ou au fonctionnement d'ouvrages ou d'installations dont l'emprise est localisée et fixe. Ils mettent en oeuvre les orientations de la politique de sécurité civile en matière de mobilisation de moyens, d'information et d'alerte, d'exercice et d'entraînement.
Les caractéristiques des installations ou ouvrages présentant des risques pour lesquels un plan particulier d'intervention doit être défini sont :
(...)
Les aménagements hydrauliques qui comportent à la fois un réservoir d'une capacité égale ou supérieure à quinze millions de mètres cubes et un barrage ou une digue d'une hauteur d'au moins vingt mètres au-dessus du point le plus bas du sol naturel
(...)
Article 11
Des exercices de mise en oeuvre du plan particulier d'intervention sont obligatoires. Les modalités en sont définies par le décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005. La périodicité maximale de ces exercices est fixée à cinq ans (...).
Dans les secteurs situés en aval des ouvrages hydrauliques, si la corne de brume retentit (hors phase de test), vous devez :
évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage . A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Une plaquette réalisée par les services de la Préfecture sur le Plan ORSEC Barrages va paraître début juillet et sera distribuée aux foyers de chaque village de la Vallée.
Cette plaquette a pour mission de rappeler les principales consignes du plan Barrages et l’utilisation de la sirène.
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EDF, également exploitant hydroélectrique sur les vallées, diffuse également des informations de ce type.