La fermeture généralisée des remontées mécaniques pour les vacances de Noël puis de février a provoqué un choc chez les professionnels du secteur et de nombreux élus des territoires de montagne. Cette décision est d’autant moins bien perçue que certaines destinations hivernales européennes ne sont pas soumises aux mêmes restrictions, alors que la France est parmi les leaders mondiaux dans un secteur très concurrentiel.
Ils ont des raisons, sur l'illustration, d'être "remontées" ...
Une gestion de la crise sanitaire uniforme qui n'a pas tenu compte des spécificités des stations et des massifs.
Dans cet article intéressant, la particularité des stations-villages qui offrent un plus grand panel d'activités dans une logique "quatre saisons" n'est pas évoquée.
Par ailleurs, pour maintenir des stations "en état de marche" et assurer la sécurité des usagers, il serait nécessaire d'investir pour rénover les remontées mécaniques. Ceci induit des investissements lourds difficile à engager face aux incertitudes d'exploitation (changement climatique, pandémies, perte d'appétence pour le ski alpin, pouvoir d'achat ...).