Paris - Le chiffre d'affaires de la presse écrite française a encore perdu 5,3% en 2013, à 8,25 milliards d'euros, à cause d'un recul des recettes publicitaires (-8,5%) et des ventes (-3,5%), non compensé par des recettes numériques encore très marginales, indique une étude du ministère de la Communication.
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Béatrice D.
onto Les médias face à leur destin |
Extraits
> Alors que le secteur affiche sa sixième année de recul consécutive, ses recettes numériques ont à peine franchi en 2013 la barre des 5% du chiffre d'affaires des 300 plus grands acteurs de la presse en France : Internet n'a représenté que 5,2% de leurs recettes, à peine mieux qu'en 2012, selon cette étude de la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC).
> Pour l'ensemble de la presse écrite, depuis 1990 la part des ventes est passée de 52,5% du chiffre d'affaires global en 1990 à 64% en 2013.
Autre source
L'augmentation de la part émanant du chiffre d’affaires internet est exponentielle pour la presse gratuite d’annonces en mutation (+43,74 % entre 2012 et 2013, surtout parce que son chiffre d’affaires global ne fait que baisser) et presque étale pour la presse locale (0,38 %).
Lire aussi
L'article de CBNews :
http://www.cbnews.fr/medias/presse-ecrite-le-ca-2013-en-recul-de-53-selon-la-dgmic-a1014328?fb_action_ids=10152640627184826&fb_action_types=og.likes
Article de La Tribune
Alors que le secteur affiche sa sixième année de recul consécutive, ses recettes numériques ont à peine franchi en 2013 la barre des 5% du chiffre d'affaires des 300 plus grands acteurs de la presse en #France : Internet n'a représenté que 5,2% de leurs recettes, à peine mieux qu'en 2012, selon cette étude de la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC).
> Pour l'ensemble de la presse écrite, depuis 1990 la part des ventes est passée de 52,5% du chiffre d'affaires global en 1990 à 64% en 2013.